Kedge Business School s’installe à Mont-de-Marsan

Classée huitième sur 23 dans le palmarès des grandes écoles de commerce du « Figaro Étudiant » et 11e sur 37 dans celui du magazine « L’Étudiant », Kedge Business School (15 000 étudiants) est une école de formation réputée en France pour les futurs managers. Elle dispose de quatre sites majeurs dont celui de Bordeaux-Talence et elle ouvrira en septembre prochain un campus associé avec l’Ecole Supérieure de Management des Landes hébergée à Campus Landes. Kedge délivrera un Bachelor (Bac +3) qui a l’équivalent licence, reconnu par le ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche. L’inscription se fait via Parcoursup et il est d’ores et déjà possible de se renseigner auprès des responsables de l’école. Il restera ensuite à réussir le concours d’entrée, un entretien et un test d’anglais.
Kedge Business School a été séduit par les formations déjà dispensées à Mont-de-Marsan, la qualité des enseignements et le taux d’insertion, et a été rassuré par la recapitalisation récente de Campus Landes (1,70 million d’euros). Enfin, la CCI des Landes a fait de ses écoles une des priorités pour l’avenir. 2024 verra aussi la naissance d’Excelia Tourism School à Dax, en partenariat avec l’Umih 40, qui accueillera ses premiers étudiants en septembre (une vingtaine de places pour l’instant).

Sud Ouest, P.10, 16/10/24

Attis monte dans Gascogne en Landes

En Landes, Attis 2, actionnaire majoritaire du groupe Gascogne (industrie du bois, papier et emballage, 460 millions de CA, 1.500 salariés) renforce sa part de capital pour passer de 70 à 81% de parts détenues. Pour cela, la société a passé un accord avec sa société mère Electricité et Eaux de Madagascar. Par ailleurs, Gascogne investira 300 millions d’euros sur 5 ans. Cela servira notamment pour l’implantation d’une usine à papier à Mimizan (220 millions d’euros). Le site devrait être opérationnel en 2025. Attis 2 regroupe Biolandes Technologies et Crédit Agricole.

Le Journal des Entreprises, P.11, 01/01/24

Epta France reboise en Landes

Basé à Hendaye, Epta France (réfrigération commerciale) a signé le 9 janvier un partenariat avec Alliance Forêts Bois & XP Bois dont le but est de reboiser une surface de 11ha dans les Landes.

Sud Ouest, P.12, 17/01/24

Okina passe à l’IA à Dax

A Dax, Okina (solutions numériques pour la mobilité des collectivités, 2 millions de CA, 24 salariés) planche sur l’intelligence artificielle pour renforcer ses offres de développement de la mobilité. Elle a notamment été rachetée en 2022 par Lumiplan (solutions d’informations voyageurs). L’objet de ce rachat est qu’Okina devienne le centre de données des volets mobilité, tourisme et ville du groupe Lumiplan, leader européen et français dans son secteur.

La Vie Economique, P.32-33, 17/01/24

Lur Berri, un groupe solide et agile

Continuer à accompagner les producteurs, s’adapter à l’évolution des marchés et accélérer sa transformation digitale : la ligne stratégique de Lur Berri est claire. Les résultats du dernier exercice témoignent de la stabilité de ce groupe coopératif agroalimentaire. Avec 1,01 milliard d’euros de chiffre d’affaires réalisés avec des produits de la mer (75 %), la filière agroalimentaire Labeyrie Fine Foods reste capitale pour le groupe Lur Berri. Depuis une année, Labeyrie Fine Foods se réorganise en quatre pôles : « Premium » avec le foie gras et le saumon des marques Labeyrie et Alain François ; « Trendy » pour les produits apéritifs et végétaux des marques Blini, L’Atelier Blini, Père Olive ; « Océan » avec les produits de la mer ; « UK » avec également des produits de la mer des marques Lyons Seafood, Farne et Real Seafood Co dédiées au marché britannique. En parallèle du chiffre d’affaires du pôle agroalimentaire (quasi intégralement réalisé par Labeyrie Fine Foods), le chiffre d’affaires des trois autres pôles (végétal, animal, distribution) s’élève à 422 millions d’euros pour l’exercice 2022-2023.
Depuis deux ans, une transition digitale est menée au sein de la coopérative rassemblant 420 employés, 4 720 salariés de filiales et 5 100 agriculteurs adhérents. Un pôle création performance & innovation qui réunit une quinzaine de techniciens des métiers de l’informatique et du numérique a été créé. Dernièrement, l’application ExtraBerri a été lancée pour apporter une vision complète des activités des utilisateurs et des services proposés par la coopérative. La transformation digitale était d’ailleurs le thème principal de l’assemblée générale du 15 décembre dernier avec notamment la mise en place de modèles prédictifs utilisant l’intelligence artificielle pour mieux anticiper les rendements.

Les Annonces Landaises, P.18-19, 13/01/2024

Délibéré attendu sur Galeries Lafayette HPB à Bordeaux

A Bordeaux, le tribunal de commerce statuera mercredi sur le sort des 28 magasins des Galeries Lafayette, en sauvegarde et endettés à hauteur de 153 millions d’euros (dont le groupe espère que les créanciers renonceront à hauteur de 70%), qu’il conviendrait d’apurer sur 10 ans.

Sud Ouest, P.6, 13/01/24

Hausse des créations d’entreprises en région

En Nouvelle-Aquitaine, 24.630 entreprises ont vu le jour entre 2022 et 2023 (+5% annuels) d’après le baromètre ISM-MAAF. L’artisanat occupe une place prépondérante.

La Nouvelle République, P.5, 15/01/23

Industrie : regain d’activité en région

Selon la dernière étude réalisée par la Banque de France du 20 décembre au 5 janvier, l’activité économique en Nouvelle-Aquitaine a continué de progresser dans les secteurs de l’industrie et des services. Les difficultés de recrutement concernent 41% des entreprises (contre 45% en novembre).

Sud Ouest, P.9, 18/01/2024

Statu quo sur les budgets des chambres de commerce et d’industrie

Alors que le projet de Budget 2024 prévoyait initialement une nouvelle baisse de 20% des subsides publics alloués aux 122 CCI de France, le Budget final acte finalement une stabilité annuelle, à hauteur de 525 millions d’euros. En face, les CCI mettent 730 millions d’euros de dépenses de soutien aux entreprises. L’équilibre se fait notamment via 110 millions d’euros de recettes issues de services facturés et via l’excédent dégagé par d’autres activités telles que l’enseignement, explique le président de CCI France. Alain di Crescenzo souligne la perte de capacité d’investissement, la nécessité de réduire encore les effectifs (départs en retraite non remplacés) et promet pour cette année une amélioration de l’efficience opérationnelle des chambres consulaires.

Les Echos, P.26, 18/01/23

L’aéronautique embauche à tour de bras

Après 25.000 recrutements en 2023, la filière aéronautique française compte en recruter autant cette année, pour une filière comptant en tout 200.000 salariés.

Les Echos, P.23, 15/01/23